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Gin no mori : « ureshi, tanoshi, oishi » !

L’histoire de Gin no Mori commence avec un marchand de tofu, le grand-père de l’actuel dirigeant, M. Daisaku Watanabe. De ce commerce, l’affaire familiale évolue vers la vente de sushis à emporter et plus particulièrement les inari sushi, fabriqués à partir d’une poche de tofu frit (abura-age). Néanmoins, il s’agit d’une activité bien trop irrégulière. Les sushis ne se vendent en grande quantité qu’au moment des fêtes de famille ou des réunions professionnelles. C’est pourquoi dès le début des années 1980, la société mise sur les produits congelés haut de gamme. Leur gestion (production, packaging, vente) est plus facile à gérer que celle des produits frais et la demande ne cesse alors de croître. En effet, les années 80 marquent le début du succès des grandes salles de mariage ou de banquet, mais aussi du tourisme. Les professionnels de la restauration sont donc à la recherche de solutions agro-alimentaires combinant qualité et praticité.

En 2000, Gin no Mori cherche à diversifier son offre en proposant un type de cuisine très particulier : l’osechi. Il s’agit de plats traditionnels du Nouvel An japonais. Ce commerce se destinait à l’origine essentiellement aux grands magasins et à la vente par correspondance. Aujourd’hui,  la société est devenu le numéro un du secteur. Frustrés de ne pas connaître l’avis de leurs clients finaux, dont ils sont très soucieux, les dirigeants de Gin no Mori ont décidé de commencer la vente de détail en juillet 2011. Pour accompagner ce lancement, ils ont également créé un grand parc à thème dédié à la gastronomie. Il comprend 5 restaurants, une boutique de souvenirs gastronomiques et un site de production.

L’ambition de Gin no Mori est de profiter de la vague de popularité du washoku (cuisine japonaise) à l’étranger pour faire découvrir l’osechi dans le monde. Depuis le classement au patrimoine mondial de la gastronomie japonaise, une fenêtre d’opportunité s’est ouverte pour les produits congelés de la société. Le Brésil, avec sa forte communauté japonaise, est déjà très réceptif. Aussi belles que bonnes, ces boîtes repas sauront surement surprendre les gourmets étrangers.

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